En langue des oiseaux et par la phonétique
Niveau 1
Quand on prononce le mot « maladie », en phonétique on entend : « mal a dit ». La maladie est donc ce que le mal a dit. Elle est l’expression d’un mal dans le corps.
Mais, si l’on prend les préfixes grecs, le A peut être privatif de ce qui suit. Ainsi, la maladie peut être un mal non exprimé.
Elle exprime alors un antagonisme : elle est à la fois l’expression d’un mal et le silence sur celui-ci. On peut alors concevoir la maladie comme l’expression dans le corps d’un mal que nous n’avons pas su exprimer dans notre vie.
La maladie nous apprend par conséquent que c’est lorsque nous n’exprimons pas ce qui nous fait mal dans notre vie que ce mal peut venir s’exprimer dans notre corps, sous la forme d’une maladie… À ce niveau d’interprétation, on peut dire que : tout ce que l’on n’exprime pas revient sous la forme d’une maladie ou d’un blocage de vie.
La maladie nous invite donc à exprimer nos émotions, à dire ce qui nous fait mal, ce qui ne nous plaît pas, ce qui nous gêne, ce qui nous fait honte, etc.
Niveau 2
Quand nous prenons le mal de « maladie » et que nous le retournons, nous obtenons l’âme… ainsi la maladie devient une expression, dans le corps, de l’âme : ce que l’âme a dit.
On peut remarquer que l’âme a en son centre un M… de l’amour. Le centre de l’âme peut donc être vu comme de l’amour.
Dans cette vision, la maladie n’est donc pas notre ennemie mais une expression d’amour, un allié. Elle nous invite ainsi à cesser de nous battre contre elle pour tenter de la comprendre, afin qu’elle puisse ensuite, peut-être, disparaître.
Comme pour le niveau 1, le A peut aussi avoir une valeur privative… ainsi une maladie peut venir parler d’un amour non exprimé… M a dit.
Au fond, la maladie survient lorsque nous commençons à nier une partie de nous-mêmes ; lorsque nous ne donnons plus d’amour, d’attention, quand nous ne sommes plus capables de dire « Je t’aime » à une partie de nous-mêmes, à une partie de notre vie.
Dans cette vision, la maladie nous invite à mettre ou à remettre de l’amour sur chaque partie de nous-mêmes, sur chaque partie de notre vie. Elle nous invite à être doux avec nous-mêmes, à remettre de la douceur sur une partie de notre vie, à cesser de nous demander des choses qui nous font du mal, de rester dans des situations douloureuses…
La maladie est un M non dit…. C’est un amour non dit ; c’est donc un amour qu’on n’a pas exprimé… à une partie de soi comme nous venons de le voir mais aussi aux gens qui nous entourent.
Alors posons-nous la question : depuis combien de temps n’avons-nous pas exprimé ou montré notre amour à nos proches ?
Niveau 3
Une autre manière d’interpréter un "M non exprimé" revient à dire que l’on n’exprime pas ce que l’on aime, que l’on ne fait pas ce que l’on aime.
Dans cette vision, on tombe donc malade quand, dans notre vie, on n’accorde pas une place importante à ce qu’on aime, quand on ne fait pas ce qu’on aime, que ce soit dans notre métier ou tout simplement dans nos activités.
La maladie est donc un rappel pour nous inviter à aller sur la voie de l’amour et de la joie. Elle nous dit que le chemin où il n’y a pas d’amour et pas de joie n’est pas le bon.
Extrait du livre : "L'être et les maux par les mots et les lettres" tome 1
Bonjour monsieur Fortuner, je trouve vos livres intéressants et votre approche novatrice, même si elle fait intervenir des concepts et notions qui appartiennent à l'Humanité depuis l'aube des temps. Quelle interprétation feriez-vous en langue des oiseaux du bégaiement ? merci par avance. Jean-Michel
Merci, merci, merci !
Dans l'unité de la vraie lumière,
Hélène Germaine Josée Cairo
= Elle ne germe mène j'ose et je prends soin de l'eau