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  • Thibault Fortuner

Femme/Homme par la langue des oiseaux


Femme/homme, langue des oiseaux

@Oleksandr Yuhlichek/123RF

En langue des oiseaux, quand nous prononçons le mot « femme » nous pouvons entendre : FAM, soit les consonnes FM. Quand nous prononçons le mot « homme », nous pouvons entendre : « OM ».

  • Le M peut parler d’amour.

  • Le F peut parler du feu et donc du masculin, de l’homme.

  • Le O peut parler de l’eau et donc du féminin, de la femme.

Ainsi, la femme et l'homme nous parlent de :

  • FM : amour du masculin.

  • OM : amour du féminin.

La femme porte donc dans son nom l’amour du masculin et l’homme celui du féminin. Ainsi, d'aprés le mot :

  • une femme est femme quand elle est dans l’amour du masculin et de son côté masculin

  • un homme est homme quand il est dans l’amour du féminin et de son côté féminin.

Autre interprétation

Le M peut signifier également couper, la mort, tuer… C’est pourquoi, il n’est pas rare de voir :

  • certains hommes penser que pour être homme (OM) ils doivent se couper, tuer, éliminer (M) la femme ou leur côté féminin (O);

  • certaines femmes penser que pour être femme (FM), elles doivent se couper, tuer, éliminer (M) l’homme ou leur côté masculin (F).

Or, la femme, comme l’homme, porte en elle ET le féminin ET le masculin. De cette manière, quand une polarité tente d’éliminer l’autre, chacun se prive d’une partie de lui-même, ce qui peut l’empêcher de trouver l’unité.

Ainsi, en négatif, dans l'homme (OM) comme dans la femme (FM), nous pouvons retrouver les graines d'une guerre des sexes où chacun peut avoir peur de l’autre, puisque :

  • la femme peut entendre, inconsciemment, dans le mot homme (OM) que celui-ci veut la tuer pour exister ;

  • l’homme peut entendre, inconsciemment, dans le mot femme (FM) que celle-ci veut le tuer pour exister.

Entre le M = amour et le M = mort, une dualité peut alors se créer, accentuée par le fait que « homme » comme « femme » s’écrivent avec 2 M. Nous pouvons alors assister à un désir/refus ; un amour/indifférence ; un « je t’aime moi non plus » entre les deux sexes ou entre les deux polarités.

Allons plus loin

En allant plus loin, le mot homme s’écrit avec un H muet. Il est donc présent secrètement, furtivement, voire en négatif, sournoisement.

Le mot homme est d’autant plus intéressant à interpréter qu'il désigne l’homme mais aussi l’humanité (homme et femme). Son analyse peut donc être valable pour l’homme mais aussi pour notre société.

  • H peut renvoyer à Hèt en hébreu. Or, Hèt désigne la barrière.

Ainsi, l’homme peut donc véhiculer inconsciemment l’enfermement, la limitation sournoise, silencieuse (H muet) du principe féminin (O).

On comprend alors que certains hommes pensent qu’il faut limiter, et pourquoi pas enfermer, le féminin et par extension la femme.

Par ailleurs, on peut constater que notre société est bien dans cette limitation du principe féminin. En effet, celui-ci est lié à des notions comme : l’intuition, l’émotion, l’accueil, la réceptivité, l’écoute, la patience et surtout… le bonheur.

Le masculin, quant à lui, porte les notions d’activité, d’action, d’analyse, de protection, de parole, de transmission.

On dit que le féminin est passif car il détient le bonheur tandis que le masculin est actif car il est à sa recherche.

Ainsi, en limitant ou en enfermant le féminin (H muet + O et M), l’homme ou l’« Homme » (et donc notre société) peut penser que pour être homme, celui-ci doit se couper de ses émotions, de ses intuitions, de l’écoute, de la patience et surtout du bonheur. Il peut alors partir dans une quête sans fin de ce bonheur, sans jamais parvenir à le vivre pleinement.

Mais, si le H peut être lié à la barrière, celle-ci n’est pas forcément là pour enfermer mais plutôt pour protéger. De plus, le H désigne aussi la vitalité. Il rend vivant.

De cette manière, le sens de l’homme (du principe masculin) est plutôt de rendre vivant, de protéger dans le silence (H muet) le principe féminin (O), pour qu'il puisse s’épanouir et vivre pleinement ce qu’il aime (M).

L’homme (le principe masculin) place alors une barrière protectrice discrète (H muet) là où le principe féminin, la femme, le lui demande, afin que celui-ci se sente en sécurité et puisse s’épanouir et faire ce qu’il aime pour l’offrir au monde et le faire grandir.

langue des oiseaux, l'être et les maux par les mots et les lettres
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