@Dirk Ercken/123RF
par la langue des oiseaux, le D parle entre autres des origines ;
par les lettres hébraïques... le I pourra être vu comme un germe ;
le A comme un silence ;
le B comme une maison / l’utérus ;
le E comme la vie ;
le T peut être vu comme la mort.
Ainsi, le diabète pourrait nous raconter la mort d’un enfant dans un utérus ou dans une maison avant la naissance d'un autre enfant. Nous aurons donc affaire à des mémoires de fausses couches, de mort d’enfant ou à un avortement.
Physiologiquement le Diabète se traduit par un surplus de sucre dans le sang. Le sucre peut être vu comme la source d’énergie dans le corps. Le sang comme un représenté du clan.
Une double lecture possible de la physiologie et de la langue des oiseaux peut alors nous donner des pistes supplémentaires pour le diabète. C’est comme si par cette pathologie on venait exprimer :
"Je veux soutenir mon clan" OU "j'ai besoin d'un soutien du clan qui ne vient pas" ;
le désir (dans une mémoire généalogique ou dans sa vie) d'apporter de l'énergie à un enfant en train de mourir ou qui ne va pas bien ;
le besoin d'apporter à un membre du clan de l’énergie pour qu'il puisse rebondir et aller de l'avant après avoir échoué dans un projet ou après avoir perdu un enfant ;
nous pourrons alors chercher le drame en lien avec cette mort prématurée et surtout les parents qui n’ont pas pu aller de l'avant après ce drame provoquant ainsi un nouveau drame pour les autres enfants ou pour les parents eux-mêmes ;
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